Outils facilitant la communication

Pictalk est un outil numérique de communication sur téléphone. Il permet d’oraliser des pictogrammes ou en les associant des phrases. Chaque utilisateur de Pictalk peut créer une bibliothèque personnelle de pictogrammes (ou des photos) pour une expérience de communication personnalisée, répondant à ses besoins ou ses centres d’intérêt. Libre de droit, gratuit et sans publicités.

Téléchargement:

• Site internet : https://www.pictalk.org/fr
• Application Android : https://play.google.com/store/apps/details?id=org.pictalk.www.twa&pli=1

Ne téléchargez les logiciels que sur les sites des éditeurs…

Vous pouvez retrouver Pictalk sur Instagram, Facebook, Youtube…

Fonctionnement

Pictalk permet d’avoir un classeur de communication dans son téléphone. On dispose ainsi de collections (pictogrammes avec un contour foncé) qui permettent de ranger, catégoriser les pictogrammes.

Un clic sur le pictogramme permet de le glisser sur une barre phrase et de l’oraliser (plusieurs voix sont proposées lors de l’enregistrement gratuit). Un icone permet d’oraliser la suite des pictogrammes glissés dans la barre et permet donc d’oraliser toute une phrase.

Un mode édition permet d’organiser les collections de pictogrammes. Son utilisation est protégé par une demande de mot de passe ce qui permet de se prémunir d’une destruction de l’organisation. Lors de la saisie d’un nom, le logiciel cherche les correspondances dans les bases Arasaac, Mulberry, tawasol et autres.

On peut dupliquer des pictogrammes afin de les ranger dans plusieurs collections, hiérarchiser l’apparition des pictogrammes en leur donnant une pondération entre 1 et 10. Les didacticiels sont suffisamment explicites pour en comprendre un fonctionnement qui reste assez simple

Visuels

Quelques captures d’écran pour se faire une idée du logiciel

Le site met à disposition plusieurs didacticiels pour en comprendre le fonctionnement. Exemple :

Avantages et inconvénients

Très simple à utiliser. Une version en ligne permet de préparer les différentes catégories en donnant des droits supplémentaires. La version sur le téléphone est efficace et reste très facile d’emploi.

Pour aller plus loin

Une affiche synthétique

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Évaluations

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Pictogrammes timer

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Lorsqu’un jeune enfant n’a aucune vision utilisable, il apprend à lire et à écrire en braille au cycle 2 de l’école élémentaire, après une préparation spécifique destinée à développer son toucher et à améliorer sa coordination manuelle. Les particularités du système braille font que l’approche de la lecture est nécessairement syllabique.
La situation est différente pour l’enfant qui a encore des restes visuels et une maladie évolutive (doit-il apprendre à lire en noir ou en braille ?) ou pour celui qui sait lire en noir mais dont la situation visuelle évolue. On parle alors de “mise au braille”.

La décision d’enseigner le braille est réglementée en France par une circulaire.

Malgré des indications précises, cette décision est toujours difficile. Il faut souligner que la mise au braille peut se faire sans abandonner complètement l’écriture en noir et ne s’oppose pas à l’utilisation de “restes visuels”, qui permet à l’élève d’emmagasiner des connaissances, des expériences… (extrait du Guide pour les enseignants qui accueillent un élève présentant une déficience visuelle (élèves malvoyants ou aveugles)